On est souvent troublé par un sentiment de manque. Manque d’affection, manque d’attention, besoin d’amour.
On cherche alors par tous les moyens de combler ce vide que l’on ressent au fond de soi. On veut apporter par l’extérieur ce qui nous ma’que a l’intérieur et cela peut nous rendre dépendant…

La dépendance liée à ce manque peut-être de divers ordres :

Affectif : on recherche absolument l’amour qui nous manque chez l’autre en mettant entre ses mains notre bonheur. Que ce soit d’ordre sentimental, amical ou familial. Ainsi, si la personne est bienveillante ce sera une vie sereine. Si la personne ne l’est pas ou a besoin d’exercer un pouvoir autocentré, ce sera très toxique. La dépendance affective peut attirer souvent les relations toxiques. On donne énormément de pouvoir à quelqu’un si on remet son bien-être entre ses mains. Et lorsque la relation n’est plus, le vide que cela provoque peut faire basculer dans d’autres dépendances.

Alimentaire, sodas, alcool, cigarette, etc., l’excès de toutes ces choses provoque le sentiment d’assumer ses carences mais ce n’est qu’un voile car on cherche encore par l’extérieur à combler la carence affective qui est à l’intérieur.

Professionnelle : la suractivité professionnelle choisie permet de ne pas penser, de se sentir utile, de combler le vide que l’on peut ressentir.

Souvent le soir est une période propice à la remontée d’émotions, de peurs et d’angoisse.

Se détacher petit à petit de ces dépendances :

Les reconnaître c’est-à-dire stopper le déni
Les accepter même si cela est très douloureux émotionnellement et parfois physiquement.
Prendre la décision difficile d’y remédier.

On peut y remédier de plusieurs façons en fonction de ses sensibilités : activités socialisantes ou physiques, culturelles, de bien-être, etc. pour les addictions qui ne sont pas trop lourdes et bien sur médicales si cela le nécessite.

En énergétique, le Reiki sous ses différentes formes (Usui, Karuna…) permet un très bon accompagnement dans le traitement des addictions afin de voir les choses sous un angle qui nous correspond, appréhender son addiction différemment, apprécier la perspective de changement dans l’optique de prendre soin de soi et de son corps (quand notre âme souffre, notre corps souffre). Réaliser chaque jour que de belles choses s’offrent à soi.


L’intention de prendre soin de soi est déjà un pas énorme, alors prenez soin de vous.

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